Cycles et conscience
Cycles et conscience
Imaginez un voyageur, les yeux clos, assis au centre de ce mandala. Autour de lui, les cercles commencent à tourner doucement, comme les roues d’une horloge cosmique. Chaque rotation dévoile une part de son être, une facette de l’univers. Le centre du mandala s’ouvre comme une fleur géométrique, mais ses pétales sont faits de lignes continues et droites, tendues entre l’ordre et le chaos. Une de ces lignes, comme vivante, s’entremêle avec les autres, formant un cercle parfait, symbole de l’unité qui s’épanouit dans le désordre.
Le voyageur comprend que ces lignes qui tombent et ces cercles qui se forment ne sont pas des erreurs, mais les traces de son propre chemin intérieur.
C’est alors, au centre de cette fleur , que le voyageur trouve la vérité: la beauté naît de l’équilibre entre ce qui est structuré et ce qui s’effondre. Il découvre que son voyage n’a jamais été linéaire, mais toujours cyclique, entremêlé comme les lignes qui dansent au centre de ce mandala cosmique.